FAQ MOBILITÉ D’ÉTUDES A L’INTERNATIONAL

Retrouvez ici le top 50 des questions fréquemment posées par les étudiants

AVANT LA MOBILITÉ

  • Découvrir une autre culture, un autre système d’enseignement, rencontrer de nouveaux amis
  • Acquérir une plus grande ouverture d’esprit et des capacités d’adaptation et d’autonomie
  • Renforcer mes compétences linguistiques dans une langue étrangère
  • Faciliter mon insertion professionnelle : une plus-value sur mon CV
  • Bénéficier de l’organisation particulière relative aux échanges (réunion d’accueil par l’université partenaire, cours de langue, etc.)
  • Bénéficier de la validation par ma composante à l’ULCO des crédits obtenus pour les examens réussis dans l’établissement d’accueil
  • Continuer à recevoir les bourses et prêts au niveau national (CROUS) et percevoir, selon certaines conditions des aides à la mobilité internationale
  • Acquitter les frais d’inscription à l’ULCO et non dans l’établissement d’accueil : je reste inscrit à l’ULCO pendant mon séjour d’études et validerai mon diplôme français si l’année de la mobilité est diplômante (cas particulier pour les départs en double diplôme et dans le cadre du programme Study Abroad).

Elle se prépare une année à l’avance. Si je suis en L2, je dois préparer mon séjour pour partir en L3 et ainsi de suite.

La DRI est là pour me renseigner.

– Pour un départ au S1 ou à l’année de l’année N+1 : Prise d’information dès le mois d’octobre (réunion d’information en novembre/décembre) et candidature en ligne entre novembre/décembre et mi-janvier.

– Pour un départ au S2 de l’année N+1 : Prise d’information dès le mois de février (réunion d’information en avril) puis candidature entre avril et mai.

Le nombre maximum de voeux est de 3, tous programmes de mobilité confondus.

Je peux partir dans le cadre d’une Licence 2, 3, d’un BUT (Bachelor Universitaire de Technologies), d’un DEUST (Diplôme d’études universitaires scientifiques et techniques), d’une Licence pro, d’un Master 1, d’un Master 2, en cycle Ingénieur 2 et 3 ou d’un doctorat. La majorité des étudiants participant à un échange sont inscrits en 3ème année de Licence. J’étudie à l’IUT, à l’EILCO et à l’ISCID-CO, je me rapproche de ma composante.

Attention : certains accords sont ouverts uniquement à un seul niveau d’études (Licence ou Master). Cette information est disponible sur notre publicateur (https://ulco.adv-pub.moveonfr.com/mobiliteinternationalulco/).

Le programme ERASMUS+ : dédié aux mobilités dans les pays participant au programme ERASMUS+ ; avec lesquels l’ULCO a signé un accord : https://ulco.adv-pub.moveonfr.com/mobiliteinternationalulco/

Les conventions d’échanges : accords bilatéraux signés entre l’ULCO et un partenaire le plus souvent localisé hors Europe.

Le programme BCI : programme d’échanges avec certaines universités québécoises.

Les doubles-diplômes.

Avec l’ULCO, je pars dans le cadre d’un programme d’échange donc dans un établissement partenaire de l’ULCO. Les possibilités d’échanges ne sont pas les mêmes d’une composante à l’autre. Je vérifie les partenariats qui me sont plus précisément ouverts.

Il s’agit d’un enseignant chargé, au sein de ma composante (Domaine de formation/IUT/ISCID-CO/EILCO), des questions de relations internationales et de mobilité sur un plan pédagogique. Il est le relais de la Direction des Relations Internationales (DRI) dans la composante. A ce titre, il peut me renseigner sur les échanges possibles et particulièrement sur les aspects pédagogiques de ceux-ci. Je dois dans un premier temps discuter avec lui de mon projet de mobilité. Il effectue notamment la sélection des étudiants partant à l’international en mobilité d’études. Pour connaître mon référent RI : https://www.univ-littoral.fr/wp-content/uploads/2022/05/Liste-referents-RI-mai-2022-pour-site.pdf

Oui, l’ULCO gère trois dispositifs d’aide, selon le statut des étudiants (statut CROUS et programme de mobilité) :

– l’Aide à la Mobilité Internationale (AMI) du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche

– la bourse ERASMUS+ via l’Agence ERASMUS+ France

– la bourse MERMOZ du Conseil Régional Hauts de France

Attention, les bourses constituent une aide à la mobilité, elles ne pourront pas financer entièrement le séjour à l’étranger. Il faudra donc également envisager d’autres moyens de financement (autofinancement, prêt étudiant etc.). Par ailleurs, l’acompte de la bourse, si vous en êtes bénéficiaire, n’est versé qu’après l’arrivée sur place, sur justificatifs, alors que les frais d’installation sont les plus importants, où que vous alliez. En savoir plus : Cliquer ici

La sélection est effectuée par le référent RI du domaine de formation (https://www.univ-littoral.fr/wp-content/uploads/2022/05/Liste-referents-RI-mai-2022-pour-site.pdf), généralement sur la base :

– du dossier universitaire de l’étudiant et de sa motivation,

– de l’adéquation du séjour avec le cursus d’études,

– de la hiérarchisation de ses vœux,

– de son niveau dans la langue d’enseignement du pays d’accueil.

Il n’y a pas de conditions de nationalité. Les étudiants n’ayant pas la nationalité française, régulièrement inscrits dans une université française pour y préparer un diplôme, peuvent présenter leur candidature pour la mobilité à l’international.

1 ou 2 semestres en fonction :

– de l’accord signé avec l’établissement partenaire

– de ce qui est autorisé par le référent RI du domaine de formation

Attention, le calendrier académique peut différer d’un pays à l’autre. Par exemple, les cours commencent plus tôt dans les pays nordiques et au Canada, alors qu’ils démarrent plus tard en Allemagne. Il faut tenir compte de ce fait, notamment pour l’obtention du relevé de notes en L3 qui peut intervenir tardivement et qui constitue l’une des pièces demandées pour une candidature en Master.

Documents candidature ULCO :

1) Photo

2) Pièce d’identité

3) Ebauche(s) de contrat(s) d’études signée(s) par l’étudiant et le référent RI (1 par vœu) (fichier transmis par la DRI)

4) 2 fiches d’appréciation d’un professeur complétées et signées par les enseignants (fichier transmis par la DRI)

5) Dernier relevé de notes dont l’étudiant dispose

6) Certificat de langues si j’en possède un

7) Lettre de motivation

Pour les étudiants de l’ISCID-CO et l’EILCO se rapprocher de votre école pour connaître la liste des documents demandés. 

Le contrat d’études est un document officiel qui met en parallèle les matières de mon programme d’études à l’ULCO et les matières équivalentes proposées par l’université d’accueil. Ce contrat est à établir en commun avec le référent RI de mon domaine de formation (https://www.univ-littoral.fr/wp-content/uploads/2022/05/Liste-referents-RI-mai-2022-pour-site.pdf) qui m’accompagnera dans le choix des matières qui me permettront de finaliser mon contrat d’études. Chaque matière correspond à des crédits. Ces crédits ou ECTS sont différents d’une région géographique à une autre.

Le système des ECTS (European Credit Transfer System) permet de reconnaître et de valider les études effectuées à l’international. Pour valider un semestre il vous faut obtenir 30 ECTS, 60 ECTS pour une année.

– Auprès du MEAE (Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères : https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/) pour connaître les spécificités du pays d’accueil (conseil aux voyageurs, sécurité, entrée/séjour, autres informations utiles, etc).

– Sur le site des établissements partenaires pour les informations utiles et pour connaître le coût de la vie.

Je suis responsable de cette question lors de mon départ et je dois me renseigner au préalable auprès de mon organisme de sécurité sociale et éventuellement auprès de mon organisme de mutuelle. Je dois souscrire à une assurance responsabilité civile, une assurance accidents corporels individuels, une assurance rapatriement et fournir à la DRI avant mon départ l’annexe à la mobilité (document fourni par la DRI) signée. Je m’engage à acheter des titres de transports (avion, train, bus,…) modifiables et annulables.  L’ULCO ne prendra pas en charge les frais de remboursement et de rapatriement en cas de dégradation de la situation sanitaire.

Pour un départ en Europe, je dois me munir de la carte européenne d’assurance maladie.

Pour un départ hors Europe, l’université d’accueil exige une couverture internationale. Se renseigner auprès des prestataires concernés : mutuelles, assurances privées, banques, etc.

Pour un départ au Canada, je dois compléter le formulaire SE 401Q106 qui me sera fourni par la DRI.

Oui, cela est obligatoire sur le programme ERASMUS+.

La couverture sociale est très importante durant la mobilité, quelque soit le programme de mobilité concerné.

 
Je me rends dans un établissement d’accueil ayant signé la charte ERASMUS+ et étant situé dans un pays membre de l’Union européenne et de l’Espace économique européen, je suis couvert par mon régime de sécurité sociale, pour la prise en charge des soins imprévus et médicalement nécessaires. Pour ce faire, je dois impérativement demander auprès de mon organisme d’assurance maladie, avant mon départ en mobilité, la Carte Européenne d’Assurance Maladie (CEAM) dont je devrai fournir la copie à la DRI.
 
Je me rends dans un établissement d’accueil ayant signé la charte ERASMUS+ et étant situé dans un pays non membre de l’Union européenne et l’Espace économique européen, tels que la Turquie, la Serbie et la République de Macédoine du Nord : La Carte Européenne d’Assurance Maladie (CEAM) n’est pas valable ici. Je pourrai, si j’engage des frais de santé à l’étranger, être remboursé auprès de ma Caisse de Sécurité Sociale étudiante, au retour et sur présentation des justificatifs. Le remboursement se fera alors sur la base des tarifs de soins français. Des écarts importants pouvant exister, il m’est demandé de souscrire une assurance maladie complémentaire spécifique, valable pour le pays et la durée de la mobilité, auprès de l’organisme de mon choix (mutuelle étudiante, mutuelle des parents, compagnie privée ad hoc…). D’autre part, il se peut que l’organisme d’accueil fournisse une couverture maladie en vertu des dispositions du droit local, alors je pourrai choisir de bénéficier de celle-ci. Avant d’effectuer un tel choix, il m’appartient de vérifier l’étendue des garanties proposées.


Si je suis un ressortissant de l’un des pays de l’Union européenne, je n’ai pas besoin de visa pour partir dans l’UE. En revanche, il me faudra un visa pour partir dans une destination hors Europe si la mobilité dure plus de 90 jours. Cela peut dépendre des accords entre pays.

Si je suis de nationalité étrangère (hors Europe), un visa est obligatoire quel que soit le pays visé.
Je devrai me rapprocher du consulat du pays concerné.

Les exigences en matière de compétences linguistiques pour les études à l’étranger relèvent généralement du choix des établissements partenaires. Il n’est généralement pas exigé d’examen en langue, excepté pour certains établissements d’accueil qui peuvent exiger un certificat attestant du niveau de langue (Cambridge, TOEFL,…). Je dois m’assurer d’en disposer avant ma candidature. Il est nécessaire d’avoir une bonne compréhension de la langue d’enseignement dans le pays d’accueil, le niveau B1 est recommandé et certains partenaires exigent le niveau B2 (liste ici,  non exhaustive en raison des modifications intervenant au fil de l’eau). Sur le programme ERASMUS+, un test de langue en ligne est proposé avant le départ. Il s’agit d’un test de niveau et les résultats ne conditionnent pas le départ. Dans les pays où la langue d’origine est souvent peu dispensée, les cours sont offerts en anglais (Bulgarie, Suède,…).

Pour connaître la langue d’enseignement d’un établissement partenaire, merci de bien vouloir contacter la DRI : outgoing.studies@univ-littoral.fr

Non. Si je suis sélectionné(e) pour effectuer une mobilité d’études dans le cadre de l’un des accords de l’ULCO, je suis exonéré(e)(e) des frais d’inscription dans le pays d’accueil. Attention, l’inscription à l’ULCO reste obligatoire avant tout départ en mobilité. Pendant la mobilité, je reste donc inscrit(e) et paie mes frais d’inscription à l’ULCO. Toutefois, quelques partenaires demandent à nos étudiants de s’acquitter de certains frais administratifs (accès aux bibliothèques, aux équipements sportifs,..), comme en Allemagne ou au Québec. Attention certains programmes sont payants (Study Abroad aux Etats-Unis et double-diplômes).

La majorité des établissements d’accueil propose de l’aide dans la recherche d’un logement en résidence universitaire ou même hors campus car ils sont les plus à-mêmes de connaître ce qui existe sur le terrain. La recherche d’un logement reste une démarche personnelle et libre. Je peux me renseigner sur le site web de l’établissement d’accueil pour connaître les modalités d’accueil proposées. Attention, les aides financières (type APL) au logement n’existent pas à l’étranger.

Il est nécessaire de contacter l’université où je souhaite étudier pour connaître les options de logement et les possibilités d’être logé avec d’autres étudiants. Attention, le fait de partir en mobilité avec des camarades n’est pas un critère de sélection, l’immersion individuelle étant la meilleure façon d’apprendre.

Le coût de la vie varie sensiblement d’un pays à l’autre, voire d’une ville à l’autre dans un même pays. Je me renseigne sur le coût de la vie dans ma ville d’accueil (logement, transports, nourriture, …) afin de prévoir le budget nécessaire à la totalité du séjour. La plupart des sites web de nos partenaires inclut une page dédiée au budget à prévoir.

Différentes aides financières à la mobilité existent (ici) mais elles ne couvrent pas l’ensemble des dépenses occasionnées. Les aides financières servent en effet à financer le surplus lié à la mobilité. Un budget est donc à prévoir.

Les formulaires de demande d’aide sont transmis par la DRI UNIQUEMENT aux étudiants sélectionnés pour une mobilité :

– Départ au S1 : courant juin de l’année en cours

– Départs au S2 : courant novembre de l’année en cours

Dans l’attente de ces formulaires, je peux finaliser mon budget prévisionnel et lister toutes les dépenses afin d’équilibrer mon budget.

L’attribution d’une aide à la mobilité n’est pas automatique, je dois au préalable compléter le formulaire de demande d’aide à la mobilité. Ma demande sera étudiée lors de notre commission de bourses : (calendrier 24/25)

Si la commission de bourse m‘attribue une aide à la mobilité, je dois suivre les instructions transmises soit par l’ULCO (si attribution d’une aide ERASMUS+ ou d’une aide AMI), soit par la Région Hauts de France (si attribution de la bourse MERMOZ). Une fois que j’aurai transmis les documents requis, je recevrai un acompte de l’aide (70% pour ERASMUS+ et MERMOZ et un certain nombre de mois sur l’AMI) et le solde à mon retour de mobilité (après envoi des pièces complémentaires à la DRI). L’acompte est versé le mois suivant mon arrivée (sous réserve d’un dossier complet), jamais avant le départ. La DRI reviendra vers moi en cas de dossier incomplet. Le solde est versé sur justificatifs après la mobilité, jamais pendant.

Les mobilités d’études ou stages dans les différents programmes sont possibles, mais la candidature ne sera pas prioritaire en cas de 2ème ou 3ème demande. Attention, certaines aides à la mobilité ne sont attribuables qu’une seule fois durant tout le cursus, il s’agit donc de bien calculer avant un éventuel nouveau départ.

La DRI met environ un mois après la date limite de candidature pour notifier aux étudiants la décision des référents RI.

La DRI va me nominer auprès de mon établissement d’accueil et je vais recevoir de leur part ce qu’on appelle le package d’admission. Je devrai le compléter et le soumettre dans le respect de la date butoir indiquée par mon établissement d’accueil. Il est indispensable de lire les informations fournies dans les emails ou dans les pièces jointes.

Bien que cela soit peu fréquent, il est possible que l’université partenaire n’accepte pas toutes les nominations qui lui sont soumises, si le calendrier d’inscription n’est pas respecté ou si mon dossier ne respecte pas les attentes du partenaire (sur le niveau de langue, par exemple). Dans ce cas, la DRI m’informera rapidement et travaillera avec moi et le référent RI pour trouver une alternative appropriée, si le calendrier le permet.

Non. Je ne suis pas autorisé(e) à partir en mobilité avec l’ULCO si je n’ai pas validé l’année d’études en cours. Ni enjambement ni redoublement ne sont autorisés en mobilité. Si j’étudie à l’IUT, à l’EILCO et à l’ISCID-CO, je me rapproche de ma composante afin de savoir si la mobilité est possible ou non en cas d’échec l’année précédant la mobilité.

Les dates de rentrée varient d’une université partenaire à l’autre. Le partenaire me fera parvenir ces informations dès que possible. Il est important de ne pas acheter les billets d’avion ou demander le visa avant d’avoir reçu l’acceptation officielle de la part de l’établissement d’accueil.

 

Non. L’établissement partenaire doit me remettre les documents d’acceptation avant la demande de visa. Ils me seront demandés par le consulat ou l’ambassade pour établir le visa. Toutefois, il m’est conseillé de me renseigner au plus tôt sur les démarches obligatoires pour une demande de visa. Je peux rassembler, dès ma nomination, tous les documents nécessaires afin de déposer la demande dès réception des documents de mon université d’accueil.

Les modalités peuvent varier, il est préférable de me renseigner auprès de l’université partenaire. Les démarches concernant l’obtention de mon visa sont personnelles

La DRI ainsi que les établissements d’accueil déconseillent fortement d’acheter les billets de transport avant acceptation.

Cela dépend de la destination et du type de visa. Dans certains pays, les visas d’études ne permettent pas de travailler, mais il est préférable de vérifier la réglementation en vigueur sur place.

Non, je dois m’en charger moi-même ou demander à un professionnel une traduction assermentée.

Les questions concernant les cours sont à poser à mon référent pédagogique RI (voir question 6).

Les étudiants en situation de handicap peuvent effectuer une mobilité internationale et selon leur situation, faire la demande de financements complémentaires et spécifiques au handicap (dans le cadre du programme Erasmus+). L’attribution de financements complémentaires se fait en lien avec la commission consultative handicap de l’ULCO. Si des aménagements spécifiques sont à mettre en place, la DRI peut faire remonter la demande auprès de l’établissement d’accueil afin d’étudier la faisabilité de la mobilité.

La réunion d’information (ouverte à tous avant la mobilité) est enregistrée et la vidéo ainsi que le powerpoint sont mis en ligne quelques jours après la tenue de la réunion.

– Prévoir des vêtements adaptés aux températures du pays d’accueil

– Prévoir un budget suffisant selon le coût de la vie dans le pays, voire la ville d’accueil, ne pas compter sur la bourse de mobilité (acompte versé à réception du certificat d’arrivée signé par le partenaire)

– Penser à une assurance complémentaire si nécessaire

– Etre actif : ne pas attendre les informations ou que l’on vienne me chercher

– Ne pas hésiter à participer aux journées des étudiants

– Ne pas hésiter à contacter la DRI directement (par email de préférence)

–  Conserver mon dossier de mobilité avec moi (clef USB) et préparer une liste des numéros d’urgence dans la ville d’accueil

– Informer la DRI de tout changement : dans la mobilité, coordonnées postales ou bancaires

– Ne pas oublier les démarches propres à mon retour en France (CROUS, logement, inscription cursus année suivante,…)

Attention, certains partenaires ont le S2 qui peut se terminer en septembre, être vigilant par rapport au calendrier pour l’inscription l’année suivante.

L’interculturalité : Afin de connaître les us et coutumes des pays pour votre mobilité, des ressources bibliographiques sont disponibles à la BULCO, ne pas hésiter à les consulter.

– Concernant le niveau de langue : pour tous les étudiants, possibilité de se rapprocher pour une préparation linguistique :

– du Centre de Relations en Langues (CRL) http://crl.univ-littoral.fr/

– de la BULCO

PENDANT LA MOBILITE

Pour la partie administrative, je serai encadré(e) et guidé(e) par la Direction des Relations Internationales de l’ULCO ou de ma composante et de mon établissement d’accueil.

Pour la partie pédagogique, je serai suivi(e) par mon référent RI (lien).

Les uns comme les autres travaillent conjointement pour accompagner les étudiants dans leur projet de mobilité dans sa globalité : avant leur départ, pendant leur séjour et à leur retour.

 

Oui. Il arrive que des matières ne soient plus disponibles par exemple, il est donc possible de procéder à des modifications de matières en informant mon référent RI à l’ULCO et mon établissement d’accueil. Pour ce faire, je complète dans les 5 semaines suivant mon arrivée sur place, le formulaire de modification du contrat d’études en ligne ou la page dédiée à ces modifications si le contrat a été réalisé en version papier. Je veille à toujours bien respecter le nombre de crédits exigés.

Oui, je peux faire acte de candidature pendant que je suis en mobilité. Je soumets de nouveau une candidature avec les pièces justificatives pour la ou les destinations choisie(s) avant la date limite de dépôt fixée par la DRI. Attention :

– certaines aides à la mobilité ne sont attribuables qu’une seule fois durant tout le cursus, il s’agit donc de bien calculer avant un éventuel nouveau départ.

– toute candidature doit être soumise au préalable à l’accord pédagogique du référent RI.

Cela est possible mais je dois au préalable contacter la Direction des Relations Internationales de mon établissement d’accueil puis, s’ils en sont d’accord, obtenir l’accord de mon référent RI de l’ULCO. Les prolongations de séjour ne sont pas automatiques. Elles doivent être absolument acceptées par le partenaire et par le référent RI, surtout s’il s’agit de prolonger le S1 sur l’année. La DRI doit être informée de la prolongation un mois avant la fin prévisionnelle de la mobilité. Si je bénéficie d’une aide financière à la mobilité, celle-ci devra être ré-étudiée en commission de bourses pour l’attribution éventuelle de mois supplémentaires.

Si j’éprouve des difficultés au cours de ma mobilité d’études, je ne dois pas rester isolé(e) ni attendre que la situation change par elle-même. Je peux en parler au plus tôt à mes responsables pédagogiques, à la DRI ULCO et à mon université d’accueil.

A LA FIN DE LA MOBILITÉ

A la fin de la mobilité, le certificat de fin de mobilité complété des dates effectives de la mobilité, signé et cacheté par mon établissement d’accueil doit être fourni à la DRI. Ce document permettra de clôturer mon dossier de mobilité. Si je suis parti(e) dans le cadre du programme ERASMUS+, un rapport à renseigner en ligne me sera également demandé. Ces documents permettront, si j’en bénéficie, la mise en paiement du solde des aides à la mobilité, solde calculé en fonction des dates réelles de mobilité. Le relevé de notes de l’établissement d’accueil sera également à fournir.

Je passe les examens dans l’université d’accueil, qui, à la fin de la mobilité, me transmet un relevé de notes. Ce relevé sera retranscrit par mon référent RI en vue d’obtenir mon relevé de notes officiel de l’ULCO. La mobilité est reconnue au retour (même en cas d’échec aux examens), fait partie du cursus de l’étudiant et est intégrée au supplément au diplôme. L’ULCO reconnaît les crédits et les notes obtenues pendant la mobilité, conformément au contrat d’études.

  • Pas de corrélation mathématique entre les notes obtenues à l’étranger et leur conversion française
  • Les unités d’enseignement (UE) validées dans l’université étrangère ne font pas, chacune séparément, l’objet de notes. Une note unique sera saisie au niveau du semestre, permettant compensation et attribution de mention, le cas échéant, après délibération du jury.

Si l’année est diplômante, le diplôme est celui de l’ULCO, l’université d’accueil ne délivre aucun diplôme (sauf dans le cadre du double-diplôme).

Etant étudiant rattaché à l’ULCO, même si le système de compensation de notes s’applique à mon retour, la validation de mon semestre ou année n’est pas garantie. Les notes obtenues et les coefficients sont des paramètres à prendre en compte.

Un semestre ou une année d’études à l’étranger ne permet pas d’obtenir un diplôme de l’université d’accueil, sauf dans le cadre du double-diplôme. Suite à une mobilité ERASMUS+, BCI ou en conventions d’échanges, le diplôme délivré reste celui de l’ULCO.

Je me renseigne auprès du service scolarité de l’ULCO ou de mon futur établissement afin de connaître la procédure d’inscription dans l’année suivant ma mobilité. ATTENTION, les dates de candidature peuvent avoir lieu durant la mobilité. Je n’oublie pas de déposer mon DSE Dossier Social Etudiant auprès du CROUS si je suis concerné(e) et d’effectuer les démarches propres à mon prochain logement étudiant avant mon retour en France.

PROGRAMMES DE MOBILITÉ

ERASMUS + / CONVENTION D’ECHANGES / DOUBLE DIPLOME / BCI

AIDES Á LA MOBILITÉ

AMI / ERASMUS + / MERMOZ

INFORMATIONS PRATIQUES

CALENDRIER / PROCEDURE / INFORMATIONS UTILES